RÉUNIONS PUBLIQUES à GRENOBLE :
- Vendredi 24 février à 20h, Salle Chorier Berriat (10 Rue Henri le Châtelier)

- Mardi 27 mars à 20h, MJC de l’Abbaye (place de la Commune)

- Mercredi 14 mars à 20h, Maison des habitants du Vieux temple (rue du Vieux temple)

CE SYSTÈME DETTE, ÇA SUFFIT !

Soutenons l’audit citoyen national pour refuser les dettes illégitimes.

En Europe, en France, des Collectifs d’Audit Citoyen de la Dette Publique se constituent au niveau national comme au niveau local, rejoignez-les.

Contact du collectif local de Grenoble : audit.citoyen38@gmail.com

Pour tout renseignement, connaître les objectifs de ces collectifs, les signataires et les textes de référence, signer la pétition, allez sur le site : www.audit-citoyen.org

LEUR MÉTHODE

- Dramatiser, faire peur. Il paraît que : « La dette est colossale, le pays est au bord de la faillite. » C’est faux !

- Culpabiliser. Il paraît que : « Nous dépensons trop, nous vivons au-dessus de nos moyens, chaque citoyen est redevable d’une part de cette dette et ce sera un fardeau pour nos enfants si nous n’acceptons pas de nous serrer la ceinture ! » « La dette de l’État est comme celle des ménages, l’État la gère en bon père de famille en réduisant les dépenses. Chaque citoyen est co-respon sable d’une partie de la dette qui est transmise aux générations futures. » C’est faux !

- Imposer l’austérité. Il paraît que : « Il est normal de payer sa dette, et pour rassurer les marchés et les agences de notation, il faut faire des sacrifices, se soumettre aux plans d’austérité, il n’y a pas d’alternatives. » C’est faux !

CE QUE NOUS VOULONS

- La dette illégitime à annuler sera déterminée par le « Collectif national

d’audit citoyen de la dette publique » et les collectifs locaux avec mise en place d’un moratoire unilatéral sur le paiement de la dette.

- Se libérer des marchés financiers : la Banque centrale européenne (BCE) et les banques centrales nationales doivent pouvoir financer directement les déficits publics des États par une création monétaire.

- Reprendre le contrôle des banques en socialisant le système bancaire c’est-à-dire dans le même temps les nationaliser et les placer sous un contrôle démocratique (salariés, usagers, collectivités).

- Engager une réforme fiscale d’envergure. Une des racines de la dette se trouve être le manque de recettes fiscales due à la contre révolution fiscale en œuvre depuis une trentaine d’années. Il est temps de réformer profondément la fiscalité actuelle qui aggrave les inégalités sociales.